Du nouveau avec la mémoire de l’eau.

le 26 Décembre 2008
Par Mr Jean-Marie Danze
Le Professeur Luc Montagnier, codécouvreur du virus du SIDA, lors d’une conférence à Lugano (Suisse) le 27 octobre 2007 intitulée : “Nano-elements from pathogenic microrganisms” (Nano-éléments de micro-organismes pathogènes) a rendu un hommage vibrant à Jacques Benveniste.
Il y déclare : “Cette conférence est un hommage à Jacques Benveniste qui était un de mes collègues. Au début, je ne l’ai pas suivi dans ses percées tout à fait nouvelles, mais il se trouve que mes travaux sur le virus du SIDA m’ont conduit à me rapprocher de ses idées”. Il présente ensuite les résultats de ses travaux sur le virus du SIDA. Le Prof. Montagnier explique que lorsque du sang infecté a été filtré de telle manière que plus aucune bactérie, ni aucun virus ne puisse subsister dans la solution, certaines structures vivantes réapparaissent spontanément après une vingtaine de jours. Or ces bactéries et virus émettent des signaux électromagnétiques dans le milieu de culture, alors qu’ils en ont été éliminés. Ceci fait dire au Prof. Montagnier que “l’information génétique peut être transmise de l’ADN à quelque chose qui se trouve dans l’eau.”… et “ceci est un pas de plus dans la science fiction. Je crois que Jacques Benveniste avait beaucoup d’idées très audacieuses. Moi, je suis un peu son tracé…”
Citons ici le résumé du contenu scientifique de la conférence en question :
Il existe de nombreuses façons par lesquelles les agents infectieux peuvent se maintenir chez leur hôte, en dépit d’une défense immunitaire adéquate de ce dernier et de l’usage médical de puissants inhibiteurs de leur multiplication. Les rétrovirus ont évolué pour trouver la meilleure solution afin de se maintenir silencieusement dans la cellule hôte, en intégrant leur ADN dans les ADN de la cellule. Mais les bactéries ont également appris à rester presque indéfiniment dans les tissus ou les organes dans un état de repos, insensibles aux antibiotiques et peu exposées aux réactions immunitaires. Il s’agit également d’une propriété générale des micro-organismes pathogènes à adapter très rapidement leur génome à toute réaction ciblée à leur encontre, soit endogène (réponse immunitaire), soit exogène (traitement pharmacologique).
Je vais décrire quelques nouveaux phénomènes qui se produisent dans les bactéries et les virus et qui peuvent contribuer à la chronicité de nombreuses maladies et aux difficultés de l’élimination de leur cause infectieuse.
Le premier est ce qui peut être le mieux défini comme la dispersion génétique. Quand une suspension de mycoplasmes est filtrée à travers des filtres de porosité de 100 nm et 20 nm, dont la dimension des pores est donc beaucoup plus petite que la taille moyenne de ces micro-organismes (300 nm), le filtrat obtenu est apparemment stérile quand il est cultivé en milieu synthétique ou analysé par PCR DNA et par PCR DNA “nested”. Toutefois, lorsque le filtrat est mis en incubation avec des lymphocytes T humains (préalablement testés comme indemnes d’infection par les mycoplasmes), on détecte à nouveau après 2 ou 3 semaines de culture, la résurgence des mycoplasmes avec toutes leurs caractéristiques, même lorsque le filtrat est dilué au millionième.
Notre interprétation est que les nanostructures qui existent dans le filtrat contiennent chacune un fragment de l’information génétique et peuvent ainsi finalement reconstituer l’ensemble du génome infectieux avec l’aide de cellules eucaryotes. Ceci nous a conduit à explorer la nature de ces nanostructures et de découvrir un autre phénomène curieux, lequel peut ou ne peut pas être lié au premier: c’est la génération d’ondes électromagnétiques à basses fréquences (entre 1000 et 5000 Hertz) par les filtrats de certaines espèces de bactéries et de virus dans les dilutions aqueuses appropriées. Il s’agit en fait d’une émission de résonance consécutive à l’excitation par de très basses fréquences provenant d’un champ électromagnétique.
Des bactéries pathogènes classiques, telles que les Escherichia Coli, les Staphylococcus, les Streptococcus, les Clostridium, etc. ainsi que les mycoplasmes et certains virus comme le VIH sont des sources de ces structures émettant les signaux électromagnétiques. Ces signaux sont à peu près tous semblables, même si une analyse plus raffinée peut révéler des différences spécifiques d’espèces. Les plasmas de personnes chroniquement infectées par les mêmes agents pathogènes émettent des signaux similaires. La nature et l’importance de la pathogénèse de ces molécules impliquées seront discutées.
Commentaires du traducteur
Pourquoi la presse n’a-t’elle pas relayé ces informations majeures ?
Il s’agit pourtant bien là d’un tournant dans la Science ! La mémoire de l’eau est enfin reconnue par un scientifique de pointe (Prix Nobel 2008). Le Prof. Montagnier a lui-même exploré ce domaine tabou de la science et à la différence de tous ces professeurs pontifiants empreints d’une vanité méprisante qui n’ont même tenté aucune expérience en vue de confirmer ou d’infirmer les résultats de Benveniste, il a mis les mains dans le cambouis et a finalement levé un coin du voile de la compréhension d’un phénomène nié à priori.
L’homéopathie fait-elle peur à ce point aux grands trusts chimico-pharmaceutiques. Quels moyens ont-ils utilisé pour museler la presse ? La Commission Européenne va-t’elle revoir sa copie quant à l’homéopathie ou va-t’elle s’enfoncer dans ses paradoxes désastreux au mépris de l’opinion publique ?
Mais la vérité finit toujours par triompher; le malheur c’est à titre posthume que les chercheurs de pointe voient leurs travaux reconnus.
Que d’années perdues à cause de ceux qui détiennent le pouvoir par l’argent et corrompent le pouvoir politique pourtant soi-disant élu démocratiquement !
Nous pouvons retenir deux points importants dans le discours du Prof. Luc Montagnier.
1. La mémoire de l’eau est la base de la transmission d’informations au sein des cellules. La mémoire de l’eau est également la base de la compréhension du fonctionnement des hautes dynamisations homéopathiques (trans-Avogadro, c’est-à-dire au-delà de la 12 CH ou au-delà de la 30 K).
2. Lorsqu’il parle de fréquences comprises entre 1000 et 5000 Hertz, ceux qui savent ne peuvent s’empêcher de penser à l’appareil MORA qui sélectionne des barrières de fréquences. Parmi celles qui sont fixées par l’appareil MORA III, il y a bien la plage située entre 1000 et 5000 Hertz. Le Dr. Franz Morell, et l’ingénieur Ercic Rasche inventeurs du système MORA et de l’appareil MORA III en particulier étaient donc eux aussi des génies auxquels nous devons rendre hommage !
Nous recommandons au lecteur intéressé de consulter le livre “Le Système MORA ou le Rationnel en Médecine Energétique” par J.M. Danze au chapitre 8 intitulé « La mémoire de l’eau » (Ed. Pietteur, Liège, 2004 – La 1ère Edition de cet ouvrage fut publiée aux éditions Encre à Paris en 1992 et reprenait déjà tous ces concepts au chapitre 8 il y a 20 ans !).
Le lecteur y trouvera des documents montrant que Benveniste n’a pas été le premier à démontrer le principe de la mémoire de l’eau ; bien avant lui, il y a eu le Prof G. Picardi (Univ. Florence), le Prof. C. Capel Boute (Univ. Bruxelles), l’équipe A. Ansaloni, P. Vecchi, E. Eberle, E. Ciccolo (Univ. Milan), C. et D. Vinh Luu (Univ. Montpellier), C.W. Smith (Univ. Salford – Manchester), etc.
Par Mr Jean-Marie Danze
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