Médecine Vétérinaire sous le regard Homœopathique.

Par Dr Eric Vanden Eynde, le 09 Décembre 2007.

Les vétérinaires sont toujours les messagers des animaux malades, malgré eux.

Les Vétérinaires qui sont des amateurs d’animaux, s’adressent aux propriétaires ou aux « éleveurs – producteurs » pour leur proposer, ou des médicaments chimiques et des interventions chirurgicales – attitudes suppressives professionnelles dites allopathiques. Ou bien, il y a un autre moyen : changer ce qui est malsain dans l’environnement des animaux et qui produit les maladies, afin de leur permettre une guérison naturelle, rapide, douce et durable dans un habitat respectueux de leur origine naturelle et suivant les valeurs de La Tradition !
Cette dernière proposition est appelée « Homœopathique », c’est-à-dire, selon l’Excellence de l’Art de vivre « naturel ».

Selon la gravité de l’état chronique et dégénératif que l’animal malade a atteint, le vétérinaire qui connaît les causes des maladies et qui sait les écarter, devra aussi trouver par son Art de Guérir, le remède « dynamique » approprié.
Il s’efforcera de découvrir la plus petite dose possible qu’il répètera le moins possible.
Cet Art de Guérir énergétique, métaphysique, subtil permet d’éviter les médicaments pratiques et efficaces, qui sont hélas chimiques, toxiques et suppressifs.
Cette approche respectueuse de l’animal s’accompagne donc toujours d’une stratégie pédagogique extrêmement difficile, car rares sont les propriétaires prêts à évaluer et à envisager des changements « personnels » qui sont nécessaires pour acquérir et puis entretenir l’état de santé de leurs animaux.

Tout le monde peut faire de la production de salades et de cochons.

Il suffit d’investir financièrement et de suivre les procédures industrielles. En revanche, pour cultiver des salades et élever des cochons il est nécessaire d’être éduqué dans cet art naturel merveilleux mais si exigeant, car il faut absolument éviter d’utiliser des produits chimiques toxiques qui s’infiltrent et contaminent systématiquement la nappe phréatique. Ces produits sont malheureusement toujours nécessaires quand on retire l’animal ou le végétal de son milieu naturel.

Dénaturer c’est dénigrer les lois naturelles, c’est refuser de se rapprocher des hautes exigences de l’Excellence pour cibler un rendement économique plutôt qu’une qualité pure et saine.
« L’élevage » devrait savoir gérer les difficultés de cohabitation dans la même ferme entre animaux de différents sexes, différentes espèces.
Et au sein d’une même espèce !
« La Production industrielle » renie l’Excellence de l’Elevage et refuse la diversité.
La légalisation oblige à produire du « lisier » : mélange des excréments et des urines, mélange hautement toxique et non recyclable.
Le lisier est contenu dans du béton souterrain pour échapper à la vue et à notre odorat et s’écoule dans la nappe phréatique.
La légalisation oblige à utiliser des engrais chimiques pour compenser ses erreurs de gestion.

L’élevage par contre offre un fumier : mélange des litières de différents animaux de ferme exposé, composé, lumineux et très fertile aux champs et dans les potagers.
L’animal d’élevage et la culture agricole ne peuvent jamais être dissociés sous peine de perdre l’excellence et sa continuité.

Les remèdes homœopathiques sont uniquement des informations énergétiques c’est-à-dire métaphysiques.
Ils sont grâce à la dynamisation et la haute dilution, immatériels et donc absolument sans action biochimique ni physique.
Le remède homœopathique n’a pas d’action biochimique directe sur les tissus, et pourtant le contact énergétique unique du remède arrive à recharger la Vis Natura medicatrix déficiente du patient, afin qu’elle reprenne « plein pouvoir ».

Car dans l’Organon de l’Art de Guérir du Dr Samuel Hahnemann déjà dans l’ Aphorisme § 9 il nous mentionne :

Dans l’état de santé, la force vitale qui anime dynamiquement la partie matérielle du corps exerce un pouvoir illimité. Elle entretient toutes les parties de l’organisme dans une admirable harmonie vitale, sous le rapport du sentiment et de l’activité, de manière que l’esprit doué de raison qui réside en nous peut librement employer ces instruments vivants et sains pour atteindre au but élevé de notre existence.

Chez l’Animal c’est l’Instinct qui conduit le corps alors que chez l’Humain c’est l’alliance du libre arbitre avec l’Esprit qui a ce pouvoir.
Les actions végétatives tissulaires sont par l’effet du remède homoeopathique, réorientées selon les forces cosmiques.
Le remède homœopathique contient donc un message ou langage énergétique codé, très subtil, sans aucune force physique.
Les cellules reçoivent et émettent des ondes lumineuses, pour dialoguer avec l’énergie vitale universelle créatrice. Ce dialogue est l’unique langage ‘bios’ du vivant terrestre qui parvient à se relier au ‘dios’ du divin et vice versa. C’est ce dialogue subtil d’énergie végétative cellulaire qui nous préserve pour la continuité et même pour l’éternité.
Cette émanation vitale végétative et cellulaire sert uniquement à entretenir la vie terrestre en « équilibre, en harmonie » ni plus ni moins.
C’est simplement par cette énergétique cellulaire que la vie s’entretient et reste une seule « unité fonctionnelle ».
Tout ce qui vit est situé entre le monde physique et le monde métaphysique. Le monde physique matériel et le monde spirituel immatériel ne sont pas vivants mais cependant indispensables pour permettre la vie.
Toutes les informations entre les êtres vivants s’expriment par ce niveau subtil.

Pour approfondir cette notion d’énergie vitale et de force d’auto guérison je vous conseille de lire les passages de Kent à ce sujet et ainsi que les références de l’Anthropologue Saint Thomas d’Aquin.

Cette énergie vitale est présente dans tous les êtres vivants, depuis le bacille en passant par l’éléphant jusqu’à l’homme et gestionnaire de la Création.

L’Intuition d’Hahnemann est aujourd’hui confirmée par les découvertes de la Physique quantique et mentionnée spécifiquement entre autre dans les travaux des astrophysiciens tel que le Professeur Français Cannepasse-Riffard.
Cette Energie vitale cellulaire est de faible intensité énergique. Elle n’est pas thermodynamique et très peu électromagnétique.
Elle se rapproche des ondes de La lumière froide. Ainsi chaque organisme émet son rayonnement lumineux de faible intensité qui est sa signature ‘Bio-Dio’, expression de l’Energie vitale interne de l’organisme!
C’est l’intelligence cellulaire de chaque organisme qu’il soit végétal, animal ou humain qui repère biologiquement l’aliment dangereux ou allié. L’intelligence cérébrale n’intervient pas dans ces actions qui sont automatiques et physiologiques.
L’Energie Vitale se révèle donc par une énergie lumineuse de faible intensité qui ne s’arrête que par la mort.
La décomposition naturelle du corps enterré devient « cendres » qui gardent toujours l’empreinte de l’histoire de son vécu !
C’est en acquièrent individuellement La Raison que l’Homme va pouvoir appréhender tous ces phénomènes vitaux subtils.
La Création donne à l’Homme d’Esprit Le Choix donc La Liberté d’assumer le Libre Arbitre ou alors, de le nier.
Celui qui renie son Libre arbitre en confrontant la vie est en attitude vitale appelée par Hahnemann, Kent et Masi « sycose ou égotrophie ».
Celui le fuit se trouve en « syphylis ou égolyse ». Celui qui se questionne de tout est en Psore, latente quand il accepte le doute et réactive quand il s’inquiète.

Les maladies aiguës fonctionnelles sont des réponses à toutes déviations exagérées du chemin biologique autant du végétal, que de l’animal que de l’humain.
Cette énergie cellulaire végétative dévie alors de son chemin harmonieux devant l’artificiel, le non-authentique.
Tant qu’il y a une SIMILITUDE avec LA VIE NATURELLE, tout reste possible !

La vraie maladie chronique des Hommes…

…car il y a selon le Dr Samuel Hahnemann aussi une « fausse » maladie chronique, a toujours une origine « métaphysique, miasmatique, psorique, illogique ».

La vraie maladie chronique est individuelle et due à un éloignement du but existentiel élevé de la personne.
La fausse maladie chronique est la suite d’un prolongement d’une privation de santé.
La vraie maladie chronique exprime une problématique « humaine » provenant de l’alliance ou adhésion irréfutable des membres de l’humanité au monde immatériel, spirituel et éternel.
Les hommes ont un libre arbitre et sont créés « perfectibles ».
Les animaux sont imperfectibles c’est-à-dire ils peuvent être apprivoisés, dressés.
Cette maladie chronique vraie ne touche les animaux et les plantes que secondairement selon leur espèce.
La plante et l’animal sont bien des créatures naturelles parfaites au niveau physique qui ne peuvent s’épanouir que si leur environnement est tenu dans les normes respectant leur nature (similia similibus curentur !), sinon ils sont modelables par l’intervention des hommes, et dégénèrent suite aux changements malsains déclenchés par une civilisation en perdition.

Les hommes vertueux qui respectent les lois naturelles après les avoir apprises, agissent en accord et en similitude avec ces lois terreuses qui sont toujours attachées aux exigences spécifiques du terroir et se voient récompensés pour leurs mérites par une réponse de la création.
Les plantes et les animaux « bien domestiqués, bien apprivoisés » font de plus belles fleurs, des fruits plus savoureux, de plus grands œufs et un beurre bien meilleur encore !

La caractéristique sur terre pour tous les éléments vivants est la bipolarité.
Par exemple la fève du café, sauvage au départ, cultivée par l’homme ensuite symbolise l’amertume de la séparation ou la joie des retrouvailles. Le café se boit le matin au départ de la journée de travail et aux retrouvailles de la pause café.
La fève du cacao, sauvage au départ, cultivé par l’homme ensuite symbolise l’amertume du labeur ou le bonheur de la récompense partagée.
Le chocolat noir aide l’homme dans l’effort physique et le chocolat au lait s’offre en signe d’appréciation chaleureuse.
Ce symbolisme est révélé dans les symptômes pathogénétiques de nos répertoires homéopathiques.
S’élever avec humanité, c’est donc quitter son milieu sauvage pour se civiliser, et s’engager pour un but Humain, élevé.
L’homme a donc toujours deux chemins d’évolution possible, un est humain l’autre inhumain ! Au « libre arbitre » de décider.

La fausse maladie chronique révèle une erreur flagrante dans l’Art de vivre naturel.

Elle est apsorique car elle renie une logique terrestre.
Elle est la preuve d’une « aberration » par un refus d’adhésion aux lois terrestres.

Le règne animal, le règne végétal et le monde minéral perdent leur santé, c’est-à-dire leur état naturel, référentiel et normal dès qu’ils n’ont plus l’occasion d’exprimer leurs propriétés spécifiques qui les résument et les nomment.
Leurs maladies sont dues à un manque de respect ou de résolution des exigences extérieures de leur génétique intérieure et le non respect des Traditions !
Par exemple, le chien de montagne qui doit se mouvoir au bord de la mer ou le Terre-Neuve, chien du bord de l’eau qui doit vivre haut dans la montagne perdent toutes leurs chances d’épanouissement et requièrent de la part du propriétaire un effort supplémentaire de restauration pour éviter la dégénération de sa santé.
Le maître du Terre Neuve devra proposer des ouvrages supplémentaires adaptés, comme des exercices de sauvetage en mer ou en lac. Le maître du chien de montagne devra proposer des ouvrages supplémentaires tels que dépistages et sauvetages.
De cette manière l’animal répondra à son chemin naturel ce qui nourrit sa Force naturelle Auto-médicatrice et améliore son immunité.

Le déclenchement de la maladie des animaux et des plantes est donc toujours « apsorique», d’origine exogène…

…celui des hommes toujours d’origine « psorique» endogène, mais néanmoins le résultat du conflit individuel réactif à une situation pratique physique, donc apsorique.
La pollution et la dégradation du monde minéral sont également secondaires et donc bien apsoriques.
Les végétaux et les animaux n’ont pas de conscience. Tandis que l’homme pour accéder à la conscience doit apprendre à gérer ses tendances animales, instinctives et affectives.
Par ex. le propriétaire qui arrose trop son cactus ignore les propriétés naturelles de sa plante qui dépérit.
L’homme qui plante L’Edelweiss dans la plaine fait la même maladresse. L’édelweiss y grandit haut mais perd toute sa force de résistance.
Ce sont bel et bien les diversités et les contrastes bipolaires du milieu qui permettent l’épanouissement complet du potentiel génétique.
Le génotype s’exprime mieux dans des adversités que dans les facilités routinières !
Cet Edelweiss est l’exemple de la main de fer dans un gant de velours grâce à sa résistance naturelle aux extrêmes climatologiques circadiens et saisonniers du haut des montagnes.
L’acte humain est extériorisé et toujours éducatif, même s’il provoque un échec; le refus d’action est une intériorisation qui n’est enrichissante que si elle est volontaire et sage!
Les animaux exécutent « un devoir » spontanément, on ne peut les y « obliger » car ils le font par nature ; ils n’agissent pas, ils ne délibèrent pas mais réagissent.

Ils obéissent toujours et partout à La Nature ou, à défaut, à l’animal supérieur, l’Homme – maître ou propriétaire -, le seul animal « super », celui qui peut La remplacer, l’utiliser subtilement ou à défaut, abuser d’Elle iraisonnablement.

Les animaux suivent librement, affectivement, spontanément leurs désirs et tentent ainsi aussi de fuir leurs répugnances.
L’homme peut estimer et évaluer comment il va agir. Faire son choix, ce n’est donc pas suivre ses envies et fuir ses aversions, c’est plutôt s’engager pour un but qu’on a estimé haut et élevé.
Pour l’homme – qui renie son but élevé, sa mission d’homme, en tant que créature spirituelle – le devoir terreux animal devient toujours une contrainte à fuir ou à anéantir plutôt qu’un besoin naturel indispensable pour entretenir son bien-être.
Ainsi, l’homme qui veut s’initier, se verticaliser, se spiritualiser en se donnant un but personnel « humain » donc « élevé », doit parvenir à métamorphoser le devoir gratuit et naturel de l’« animal » à une vertu « humaine ».
C’est l’engagement personnel seul qui permet l’acquisition de ce bien métaphysique, donc non préétabli, qui s’appelle « Vertu ».
Cet engagement est libre et volontaire.

Le vétérinaire qui veut suivre les lois universelles décrites dans l’Organon et dans Les maladies Chroniques de S. Hahnemann doit donc apprendre à reconnaître toutes les causes directes des maladies pour apprendre aux maîtres à les écarter. (Aphorisme 4
Ensuite il entreprend courageusement les démarches homœopathiques !
L’Homœopathie est expérimentale et suit donc une stratégie simple et logique.
Etape par étape pour les fausses maladies chroniques en écartant tout d’abord les causes externes.
Quand une maladie aigüe apparaît ou qu’un symptôme inusité surgit l’homœopathe répond à l’aphorisme 153 et ose prescrire le remède homœopathique approprié en pleine confiance ! C’est alors que le biophysique et le métaphysique se rencontre.
Dépister les causes de ces fausses maladies chroniques est donc le premier devoir du vétérinaire.
Quand il aura réussi à les écarter il ne restera dans la symptomatologie que les symptômes « homœopathiques §153» qui mènent sans détour au remède juste !

Aujourd’hui la confusion métier-profession existe.

Notre métier est notre vocation, nous sommes dédiés à l’animal. Si nous restons de vrais amateurs d’animaux (amare, = aimer = attacher, amarer) et admiratif devant le fonctionnement admirable de toutes les créatures nous ne pourrons qu’accepter ce défi en restaurant courageusement la biologie saine des animaux malgré les obstacles sociaux, légaux et politiques.
Notre profession s’est associée et enchaînée aux exigences économiques et technologiques.
Le but noble du métier : protéger les animaux et la végétation est donc abandonné.
Notre profession a tourné le dos à La Tradition et rejette les exigences spécifiques des terroirs.
Elle refuse de défendre les droits et le respect biologique et écologique des plantes et animaux.
Notre profession oblige à isoler les animaux dans des entreprises de production agricoles, plutôt que d’élaborer des biotopes heureux où plantes et animaux se côtoient si bien, qu’ils nous offrent des fruits admirables et de la chair saine.
Dès que l’on quitte les sentiers terreux, le chemin tellurique, celui de l’authentique, alors, le bon goût, le délice charnel , celui qui donne le bien-être physique aux mammifères supérieurs disparaît de la vie organique pour ne laisser que des traces nostalgiques du bien être.
Notre profession en s’associant aux normes de l’Union Economique Européenne et aux règles de la mondialisation viole toutes les valeurs fondamentales de la protection respectueuse de l’animal et de l’art de guérir des animaux ainsi que de l’agriculture que notre métier devrait défendre et protéger.
Nous savons qu’aucune culture agricole ne peut s’élever sans la participation des animaux de ferme et vice-versa : agriculture et élevage animal ne font qu’un.

L’homme est bien, un être « Psorique, intime, unique » par le don du raisonnement individuel (Esprit) et « apsorique, animal, affectif », par tout ce qui est commun à la constitution biologique charnelle de son espèce.
Son corps animal est terreux, ses tendances sont charnelles, corporelles et affectives, mais l’égo – qu’il le veuille ou non – a une conduite morale, donc une conscience.
C’est cela, la psore, le miasme, le niveau métaphysique et spirituel. Que l’homme doit assumer et ne peut nier, si ce n’est au prix de la maladie.
L’aberration comme le dit Hahnemann est l’origine de toutes les maladies sur terre.
C’est cette partie spirituelle de l’Homo Sapiens qui le charge d’une tâche, d’un miasme, d’une psore primaire latente ou éveillée, d’un doute existentiel de son origine élevée et d’une destinée éternelle, d’un chemin entamé déjà par ses ancêtres et qu’il transmet qu’il le veuille ou non toujours à ses descendants…. !
Accomplir librement sa vie et son destin c’est la façon la plus sûre et vraie pour donner du goût à sa vie ; c’est délivrer les descendants du lourd labeur de restauration du travail non accompli en se procurant bonheur et santé comme réponse charnelle au mérite !
Charnel : de ‘caro’, chair, relatif à la nature animal, aux cinq sens externes. Qui concerne la chair ; par opposition à l’esprit et au sixième sens, le sens interne humain qui relie le terreux à l’Esprit, le Ciel.
L’animal, la plante et le minéral ne sont que « constitués », même magnifiquement parfaits et n’ont donc pas de dynamique miasmatique individuelle.
Ils sont « offerts » aux hommes et se « sacrifient » aveuglément et sans souffrance pour les humains.
Ils ont une psore de groupe et d’espèce.
Notre « constitution » humaine est innée et génétique (génotypique) pour toute notre espèce.
Elle est modelable ce qui n’est pas le cas pour les plantes et les animaux
Les animaux qui ne sont pas doués de la Raison, du Raisonnable sont sensibles oui sans aucun doute, mais sans droit de « parole ».
Ils subissent et réagissent spontanément à toutes confrontations terrestres.
Ils ne s’expriment pas (leur pensée) par la parole, mais leur corps est une parole véridique pour ceux qui veulent l’entendre.
Ce cours pour l’Scuola di Verona (It) est donc proposé aux vétérinaires, médecins et à tous les êtres dits « humains » qui veulent par définition agir divinement, subtilement.

Les animaux ne s’élèvent que si leur environnement est merveilleusement adapté à leur constitution génétique innée : aucun besoin de chimiothérapie ni de vaccination pour entretenir leur santé.

Conclusion : Restons artisans, et apprenons l’art de gérer les animaux et leurs environnements naturels.

Refusons les moyens pratiques actuels qui sont pratiques mais toxiques qui dénaturent le milieu et s’éloignent de l’exigence et l’éthique humaine.
Le vétérinaire doit se réconcilier avec la nature pour transmettre sa vocation aux maîtres des animaux ainsi qu’aux cultivateurs.
J’espère que tous les vétérinaires qui apprennent la science et l’art homœopathiques, puissent illuminer la conscience de leurs confrères et des propriétaires d’animaux qui les consultent, afin que l’humanité toute entière prenne en charge l’Avenir de la planète et de tous ses habitants.
Merci de tout cœur de m’avoir prêté tant d’attention.
Que tous gardent le courage nécessaire pour s’investir sans frustration à éveiller la conscience collective des hommes pour que nos animaux et nos plantes domestiques et sauvages puissent jouir de notre présence sur terre !

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Créé en 2000 par la Société Royale Belge d’Homéopathie pour promouvoir la pratique de l’homéopathie uniciste selon les principes de son fondateur : le Dr Samuel Hahnemann (1755-1843).


Société Royale d'Homéopathie:
Fondée en 1872, elle est à l’origine de l’Ecole Belge d’Homéopathie dont le but est de former les homéopathes. Responsable aussi de la publication trimestrielle de la Revue Belge d’Homéopathie.

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