La grippe porcine.

Réflexion sur la grippe porcine.

Par Eric Vanden Eynde, le 19 Août 2009.

La grippe porcine comme nouvelle menace planétaire.

Le monde entier est « grippé » par le danger d’une pandémie humaine et animale. Quelles « combines » (virus re-combinés) et quels délits sont à l’origine de ce bouillon de culture qui contamine la nappe phréatique, les mers et océans, l’air de l’atmosphère et la couche arable de notre mère nourricière ? Sous quelles « influences » (Virus Influenza) l’homme industrialisé a-t-il pu lâcher l’alliance avec l’Ethique humaine et le Respect admiratif pour L’Univers ?

Introduction pour information :

La grippe porcine est due à des virus grippaux, virus enveloppés à ARN appartenant à la sous-famille Orthomyxoviridae endémiques des porcs, au genre Influenzavirus et au sous-type H1N1 ou H3N2 le plus souvent. Il s’agit de virus de type A comme le H1N1, H1N2, H3N1 et le H3N26,7. Récemment, des recherches ont indiqué que le virus H2N3 pouvait également être à l’origine de ce type de grippe8. Les virus isolés du porc et de l’homme ont une origine commune et des échanges de virus se produisent couramment entre ces deux espèces.
En avril 2009, une nouvelle variante jusque là inconnue d’un virus recombiné composé de génome de virus de la grippe porcine, de la grippe aviaire et de la grippe humaine, dénommé grippe A(H1N1), apparaît.
Grippe porcine

Les virus de la grippe peuvent migrer des cochons aux hommes et aux oiseaux.
La grippe porcine est une maladie respiratoire aiguë provoquée par un virus grippal porcin de type A. Elle est endémique chez les porcs, avec une estimation de 25% des animaux atteints à l’échelle mondiale. Son taux de morbidité est élevée et son taux de mortalité est faible1,2. Le virus est transmis par contact direct et indirect et par aérosols, par des animaux malades ou porteurs asymptomatiques. En zone tempérée il existe des pics épidémiques en automne et en hiver. Des vaccinations systématiques sont effectuées sur les populations de porcs dans de nombreux pays.
Les virus grippaux porcins les plus fréquents appartiennent au sous-type H1N1 mais d’autres sous-types existent et les porcs peuvent être co-infectés par plusieurs types de virus en même temps, ce qui peut engendrer un virus recombiné résultant du mélange de différents sous-types. Ces virus n’infectent normalement que les porcs mais ils peuvent parfois passer la barrière de l’espèce et provoquer la maladie chez l’homme, généralement chez des personnes en contact étroit avec les porcs. Quelques cas de transmissions interhumaines ont également été rapportés. En 1976, elle causa ainsi 25 morts aux États-Unis.
Épidémiologie Espèces affectées : le porc, l’Homme et rarement, chez les oiseaux comme la sauvagine par exemple.
Sources et transmission de l’infection : le virus est excrété dans le milieu extérieur par les malades ou porteurs du virus sous forme d’aérosols, ou dans les sécrétions nasales ou trachéobronchiques. Le virus peut aussi être transmis de façon indirecte par les véhicules, le lisier, les trottoirs etc.
Le lisier est un mélange de déjections d’animaux d’élevage (urines, excrément) et d’eau dans lequel domine l’élément liquide. Il peut également contenir des résidus de litière (paille) en faible quantité. Il est produit principalement par les élevages de porcs, de bovins et de volailles qui n’emploient pas, ou peu, de litière pour l’évacuation des déchets (dans le cas contraire, ils produisent du fumier). Le lisier pose un problème d’élimination dans le cas des élevages hors-sol concentrés dans un faible périmètre.
L’élevage hors-sol est un type d’élevage associé à l’industrie agroalimentaire.
L’élevage (plutôt l’exploitation criminelle d’animaux) hors-sol est un type d’exploitation intensif qui utilise des aliments pour animaux issus de l’industrie agroalimentaire et non des produits de l’exploitation agricole dans lequel il est pratiqué. Les animaux sont élevés dans des bâtiments où toutes les fonctions sont automatisées.

Tableau clinique.

• Durée d’incubation : 24 à 48 heures
• Symptômes : fièvre importante (41 °C), anorexie brutale, prostration et douleurs musculaires.
Apparition de difficultés respiratoires laissant place à une toux sèche, profonde et quinteuse et un jetage abondant. La guérison spontanée a lieu entre le 6e et le 7 e jour.

Diagnostic expérimental.

• Mise en évidence de l’agent pathogène par la réaction d’hémagglutination ou des techniques d’immunofluorescence.
• Mise en évidence des grippe porcine. par inhibition de l’hémagglutination ou par hémolyse radiale.

Rappel : Qu’appelle-t-on grippe aviaire ?

Les virus influenza responsables de la grippe sont classés en différents types : A, B et C. Les plus fréquents, les virus Influenza A sont classés en 15 sous-types H et neuf sous type N. Chez les oiseaux, les infections par des sous types H5 et H7 sont particulièrement pathogènes, avec des mortalités de l’ordre de 90 à 100 %. Cette infection peut toucher presque toutes les espèces d’oiseaux, sauvages ou domestiques. Le virus se transmet entre animaux essentiellement par contamination aérienne (secrétions respiratoires) soit par contact direct, notamment avec les sécrétions respiratoires et les matières fécales des animaux malades, soit de façon indirecte par l’exposition à des matières contaminées (via la nourriture, l’eau, du matériel et des vêtements contaminés). Les oiseaux sauvages sont plus souvent des porteurs de souches de virus sans pour autant ne présenter aucun symptôme. Le contact de ces oiseaux migrateurs avec des volailles domestiques a été à l’origine de différentes épidémies aviaires.
Le virus Influenza aviaire peut éventuellement infecter d’autres espèces animales comme le porc ou d’autres mammifères. On parle d’épizootie de grippe aviaire lorsque la maladie affecte brutalement un grand nombre d’animaux à la fois dans une région donnée.
Le virus influenza aviaire est-il transmissible de l’animal à l’homme ?
Le virus de la grippe aviaire de type A (H5/N1) peut se transmettre de l’animal à l’homme. C’est ce qui s’est produit depuis janvier 2004 en Asie, mais également en Chine en 1997 (“grippe du poulet à HongKong”) avec un virus A (H5/N1) et aux Pays-Bas au printemps 2003 avec un virus A (H7/N7). La contamination aérienne se fait essentiellement lors de contacts étroits, prolongés et répétés dans des espaces confinés avec des sécrétions respiratoires ou des déjections d’animaux infectés, par voie directe ou indirecte (surfaces et/ou mains souillées par les déjections).
De ce fait, ces cas restent exceptionnels et concernent principalement les personnes qui travaillent ou interviennent dans une zone contaminée : éleveurs, techniciens de coopératives, vétérinaires, équipes de nettoyage et de désinfection…

Ce virus est-il transmissible d’homme à homme ?

Concernant le virus aviaire H5N1, il n’existe pas de preuve d’une transmission inter humaine significative en Asie selon l’Organisation mondiale de la santé. Seules quelques suspicions très limitées (le cas d’une mère au chevet de sa fille mourante a un temps été évoqué) ont été évoquées. Mais le risque d’une pandémie humaine repose sur la survenue d’un virus influenza aviaire pathogène “humanisé”. Virus Recombiné!

Une telle opération pourrait se faire en cas d’infection du virus aviaire chez une personne déjà contaminée par le virus de la grippe humaine : des échanges de matériel génétique entre ces deux virus pourraient aboutir à l’apparition d’un nouveau type de virus susceptible de se transmettre d’homme à homme, avec un risque d’épidémie voire de pandémie.

Mais ces réarrangements génétiques peuvent également se produire spontanément.

Que signifie le terme pandémie grippale ?

Une pandémie grippale se définit comme une forte augmentation dans l’espace et dans le temps des cas de grippe qui finit par diffuser à l’ensemble des pays, accompagnée d’un nombre important de cas graves et d’une mortalité élevée. Elle résulte de l’introduction dans l’espèce humaine, le plus souvent à partir d’un réservoir animal, d’un virus grippal complètement nouveau, vis-à-vis duquel la population n’est pas encore immunisée.
Depuis décembre 2003 et l’apparition de cas humains d’infection à virus aviaire en Asie, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) considère que nous sommes en phase pré-pandémique. Le dernier niveau avant la phase pandémique sera atteint lorsque le nouveau virus aura acquis une capacité de transmission inter humaine.

Réflexions du Vétérinaire Eric Vanden Eynde (de Tervuren) :

Très chers cohabitants responsables, sur cette planète,

1/Je vous invite à méditer judicieusement sur le sens de cette Grippe Porcine dite Mexicaine.

Elle accompagne et donne un suivi à la Grippe Aviaire, dite plutôt Asiatique, qui toutes deux menacent la planète entière d’une « pandémie ». Au lieu de proposer quand il y a le déluge, l’Arche de Noé qui offre cohabitation à tous les animaux terriens, nous fabriquons volontairement par nos entreprises industrielles appelées aussi exploitations agricoles et exploitations de production d’animaux une « pandémie » car nous n’habitons aujourd’hui plus sur une « Terre fertile, baignant dans une bonne atmosphère ». Nous nous sommes isolés d’un contact direct avec nos animaux. Ainsi sont construites nos villes. Comme nous, nous les installons aussi « hors sol » et « sans soleil, ni nuages » dans des bunkers de bétons bien isolés avec un système d’air conditionné.

2/Une pandémie (du grec pan = tout et demos = peuple) est une épidémie qui s’étend à la quasi-totalité d’une population d’un continent ou de plusieurs continents, voire dans certains cas de la planète.

Jusqu’à ce siècle la contamination ne touchait qu’une seule espèce, l’homme, ou une espèce d’animaux. Aujourd’hui nous avons réussi à anéantir l’intégrité génétique des espèces ! Un oiseau ou un cochon peut aujourd’hui contaminer l’homme, et le cochon peut contaminer la volaille et vice-versa. ! Sont-ce les animaux qui sont montés en grade, ou sommes-nous les humains descendus dans nos bas instincts ? Ne serait-il pas humble et intelligent de se poser la question : comment cette perte d’intégrité, cette perte d’immunité, cette perte de barrière immunitaire entre espèces ?

Plusieurs pandémies ont touché l’humanité : la peste noire (ou peste bubonique) qui a causé plusieurs millions de morts en Europe, entre 1346 et 1350, la grippe espagnole de 1918 à 1920 (après-guerre) qui a fait 15 millions de morts en se propageant depuis la chine vers le Japon, la Russie, l’Europe puis l’Amérique du Nord.

3/Pour comprendre l’installation d’une pandémie voyons déjà comment et surtout pourquoi le SIDA s’implante.

Après avoir infecté 40 millions de personnes, le S.I.D.A. est aujourd’hui considéré comme une pandémie ; il semble devoir devenir la plus mortelle de l’histoire humaine. Ici les scientifique lève le voile du secret des responsables du S.I.D.A. en lui donnant son nom de baptême : Syndrome d’Immunodéficience Acquise.

Dans son nom nous découvrons que ce syndrome (pas cette maladie) n’est pas « contagieuse » par le virus lui-même mais par la fuite d’un Art de Vivre qui seul est protecteur de l’intégrité éthique et biologique de l’homme, de sa planète et de tous les cohabitants. Ce virus n’est pas « virulent » et n’est pas autonome comme celui de L’Influenza. Le virus du SIDA est un « Subvirus », un faux virus, un fabriqué, un décadent, peu virulent car il faut l’introduire soi-même dans le hôte par injection, pénétration et échange de liquides (humeurs) organiques par voie directe violente : il faut des blessures ou du sang hors des artères, des muqueuses blessées, sinon ce subvirus meurt sans contaminer autrui. Il faut donc le couver et le garder au chaud pour qu’il fasse son travail et exécute ainsi sa mission biologique d’éliminer insidieusement le malade en mettant la faute sur une maladie bénigne qui s’aggrave. Le SIDA s’implante pas comme une pandémie de virus plus authentique tel les « Influenza’s » ou grippes qui provoquent brutalement après une courte incubation des symptômes plutôt « aigus ». Tout comme le subvirus du SIDA qui pour sortir de sa cachette (le singe) attend une intervention dans un laboratoire médicale ou pharmaceutique sophistiquée, le SIDA ne peut pas tuer pendant une phase aigue mais petit à petit. Il y a donc un grand décalage entre la date de contamination et le début de l’expression d’un syndrome sidéens. Pour la grippe, qui est un génie viral plus autonome l’évolution épidémique est rapide et les gens guéris spontanément (sans intervention pharmaceutique) ont retrouvés leur équilibre immunitaire naturel ; l’autodéfense est certifiée.
Le VIH est étroitement lié aux virus entraînant des maladies semblables au sida chez les primates, le virus d’immunodéficience simien (VIS). Il existe plusieurs théories sur l’origine du sida, mais il est communément admis que le VIH-1 est une mutation du VIS. Ce dernier infecte notamment les chimpanzés Pan troglodytes, qui sont des porteurs sains du VIScpz. La transmission chez l’homme a été rendue possible par une mutation du virus par la fabrication de vaccins en laboratoire.
“Le virus du sida s’apparente justement à un virus simiesque présent dans le rein utilisé en Afrique pour la fabrication des vaccins contre la polio, la variole, ou contre la rage. Le virus affectant les singes, non mortel pour eux et pour l’homme, est devenu mortel pour l’homme à la suite d’une recombinaison génétique avec un autre virus” (1). “L’invasion des mutants”
“Le virus peut se transformer génétiquement et devenir pathogène… Dans certaines conditions, il est contraint à muter et à développer de nouvelles souches. C’est ainsi que s’expliquent les nouvelles épidémies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage d’un virus de singe à l’homme.” (D’après Sciences & Vie n°934, dossier Virus, Juillet 1995)
Les cultures vaccinales se faisaient et se font encore sur les reins de singes verts ou de macaques… Tous les biologistes doivent savoir maintenant le danger de telles manipulations vaccinales : on n’est jamais à l’abri de mutations qui rendent ces virus auparavant inoffensifs, mortels pour l’homme, soit par dégénérescence, soit par croisement, soit par la présence de fragments d’ARN cellulaire ayant acquis une autonomie propre.
Cette recombinaison fut peut-être accidentelle, peu importe… ce sont des scientifiques qui en sont responsables, et qui le nient. Les victimes de cette désinformation se comptent par millions ! Que sait-on sur cette épidémie qui touche exclusivement les populations des pays pauvres, les homosexuels et les accros de la seringue ?
“Le virus du SIDA a été créé de toutes pièces par l’homme à la suite d’une erreur de manipulation dans un laboratoire.” (Louis de Brouwer dans l’Ère Nouvelle, Nov-déc. 1988 p.9)
“Les 7 pays les plus touchés par le SIDA sont ceux d’Afrique centrale, là où la vaccination antivariolique fut la plus intense. Le Brésil, où la campagne d’éradication fut instituée à grande échelle, enregistre le plus fort taux de sidatiques d’Amérique latine; Haïti est la voie par laquelle le SIDA s’est répandu aux États-Unis… les plus forts taux de SIDA coïncident avec les plus intenses campagnes de vaccination.”
“Dans un nouvel hôte, le virus peut se transformer génétiquement et devenir pathogène.” Voyons comment les choses se passent, selon P. Rossion dans Sciences & Vie. “En pénétrant dans un nouveau biotope, le virus trouve des conditions de vie pour lesquels il n’est pas adapté. Il ne peut donc plus proliférer. Aussi, sous la pression de l’environnement [sic], il se trouve contraint à muter et à développer de nouvelles souches. Comme ces souches sont nouvelles pour l’hôte, et que celui-ci n’a pas encore appris à cohabiter avec, elles sont forcément pathogènes. Quant aux hôtes infectés par le virus, ils sont également sélectionnés en fonction de leur capacité à lui résister. Cet ainsi que s’expliqueraient la plupart des nouvelles épidémies observées ces dernières décennies. Ainsi en est-il du SIDA qui serait dû au passage accidentel d’un virus du singe à l’homme.”
Le sida aurait donc été créé de toute pièce par l’homme à la suite de cultures vaccinales sur des reins de singes d’Afrique. Il serait apparenté à un virus déjà présent chez le singe, le SV 40, sans qu’il soit virulent pour le singe ni pour l’homme. C’est par mutation ou accident génétique que ce virus a donné le recombinant génétique qu’est le rétrovirus du SIDA, le VIH.

À l’appui de cette hypothèse, quatre arguments :
– D’une part, l’infection expérimentale de singes par le VIH ne provoque pas l’apparition de la maladie.
– D’autre part, dans le sang des singes verts d’Afrique il existe un virus, le VIS, en général inoffensif pour l’animal, qui présenterait des analogies troublantes avec le VIH.
– Enfin, les campagnes vaccinales, en Afrique. Il paraîtrait que c’est à l’ouest de la crête Congo-Nil, dans la vaste cuvette occupée notamment par le Zaïre, qu’à démarré l’épidémie du SIDA.
– On a déjà vu des cas où un virus désactivé redevenait actif et virulent en présence d’un autre. On ne peut éliminer ce phénomène, comme on ne maîtrise pas la radioactivité et ses effets sur nos gènes…

4/ La suppression des maladies contagieuses authentiques implante la tendance à la formation de maladies dégénératives ( c’est une loi physiologique):

Il faut donc du mérite pour assumer le déroulement normal des maladies infectieuses vraies et il faut être naïf pour croire qu’une intervention systématique industrielle de laboratoire (ex. vaccination, chimiothérapie…) puisse venir à bout d’un phénomène « naturel » provoqué. On n’y échappe pas ; c’est « la privation de santé » en cause qui doit être anéantie efficacement, pas les virus révélateurs !

En refusant notre rôle humain d’entreteneur et même d’administrateur délégué du Créateur pour améliorer la jungle terrestre qui nous est offerte, nous recherchons des moyens technologiques, artificiels et de synthèse chimique, donc uniquement des moyens matérialistes sans spiritualité, pour combattre les maladies contagieuses qui ne sont jamais aussi inguérissables que les maladies de dégénérescence, les cancers et les maladies auto-immunes, dont on ne guérit pas.
Toutes ces maladies dégénératives sont parallèles avec un « comportement inhumain collectif » sur la planète. Car tout acte humain qui avilit la planète et les rapports entre ses cohabitants est inhumain ; il dénature le milieu et la santé de tous ses habitants. Ces actes provoquent des « privations de la santé » qui engendrent des maladies chroniques qui ne peuvent pas guérir par une intervention médicale mais uniquement par l’arrêt le plus rapide possible, de l’aberration en cour. Il n’existe aucun médicament (moyen pour guérir vite et sans souffrance = geneesmiddel) qui est capable de rendre l’homme et les autres habitants de la planète « invulnérables » ! Tant qu’une maladie aigue et contagieuse se déclare nous savons que l’organisme est en défense et si on la soutient bien c’est-à-dire naturellement, donc non-toxique, elle pourra se libérer de sa charge en formant ses anticorps ou immunoglobulines.
Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés le plus souvent sur des cultures de cellules animales (foie de singe, de cochons, de volailles, …) ou humaines (issues des avortements), cancérisées artificiellement (on les baptise alors gentiment «immortelles»), ou encore d’emblée cancéreuses (lymphomes). C’est-à-dire qu’on fait «pousser» les virus vaccinants sur ces milieux. C’est, dans tous les cas, le «jus» de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé aux patients, après filtration et traitements éventuels pour atténuer ou tuer les virus et amélioré par l’ajout d’adjuvants toxiques pour augmenter l’efficacité!
Les cellules cancérisées servant à fabriquer les vaccins doivent être en très grand nombre : en effet, chaque dose vaccinale renferme des quantités invraisemblables de virus ! 700.000, au moins, pour une dose de vaccin anti-poliomyélitique par exemple. Or, les fabricants de vaccins produisent des milliards de doses ! Pour augmenter le rendement, l’on nourrit les cellules «immortelles» qui servent à la culture des virus avec du sérum de veau qui possède un facteur de croissance particulièrement actif. Or, ce sérum de veau est susceptible d’être contaminé par des prions, qui sont des protéines agressives encore plus résistantes que les virus, responsables de maladies comme l’Encéphalite de la vache folle ou la maladie de Creutzfeldt-Jacob (démence abiotrophique). Des virus cultivés sur du sérum de veau ou d’agneau, …: comment ne pas évoquer la maladie de la vache folle ? Ces maladies évoluent après de longues incubations (trois à cinq ans en moyenne), ce qui permet d’éviter tout «rapprochement» malheureux avec ces pathologies ou d’autres maladies neurologiques comme la maladie de Alzheimer ou le syndrome de Parkinson, par exemple. D’autant plus que les veaux donneurs sont tués avant l’âge adulte, donc avant que l’on puisse diagnostiquer la maladie à prions.

5/ Revenons sur terre, sur le terrain naturel :

Les maladies contagieuses ont un message éducatif et informant sur l’aberration provocatrice de la perte de résistance et d’immunité du hôte ! Ainsi, la Myxomatose extermine les lapins d’autour des villes car ils y échappent à la guidance de leur comportement éthique naturel, (éthologie : art de vivre du lapin, comportement inné dans un environnement naturel), parce les prédateurs et les chasseurs ont disparus ou sont tenu en laisse.
Quand les lapins se « contiennent », se comportent comme il le faut, c’est-à-dire quand ils répondent à leur rôle génétique inné mais tenu éveillé et limité grâce à la présence d’autres animaux dits carnassiers ou prédateurs. Ces animaux supérieurs, mammifères carnassiers et omnivores sont les « responsables des végétariens et insectivores », dits inférieurs. Ne sommes-nous donc pas, les hommes, les plus hauts responsables de l’entretien et même de l’amélioration des conditions de vie de nos cohabitants inférieurs et de nos propres enfants ? Ne sommes-nous plus les constructeurs de l’avenir de toute la planète ? Et si elle se porte bien, car nous jardinons judicieusement, sans chimie (sans pétrochimie surtout), en suivant le bon sens commun, et en respectant les exigences des terroirs, alors tous les cohabitants peuvent jouir du bien-être. La décadence moral, l’absence d’éthique « humaine » est bien la source de la pollution à tous les niveaux de notre planète qui nous héberge gratuitement.

6/ Plus suicidaire est encore que le SIDA, est le PRION qui donne La Vache Folle et La Maladie de Creutzveldt-Jacob chez l’homme.

Proteinaceous Infectious particle that lacks Nucleic acids. (Abnormal isoform of a normal cellular protein).
Les Professeurs d’Université associés à l’industrie agroalimentaire sont parvenus d’utiliser leurs sciences sans référer à leurs conscience et ont « synthétisés » ce nouveau genre de protéines agressives et criminelles envers les cellules cérébrales et reçoivent le Prix Nobel.
Le terme “prion” a été crée par S. Prusiner pour désigner les agents non conventionnels responsables des encéphalopathies spongiformes transmissibles (EST), maladies du système nerveux central qui peuvent êtres transmises (actes physiques et organiques), mais toujours mortelles.
De nature protéique, – Ils ne sont pas vivants, ils ne se multiplient pas comme les virus ou bactéries – apparemment dépourvus d’acides nucléiques, les prions sont caractérisés par la capacité qu’à la forme pathogénique de transmettre via des interactions protéine-protéine, ses propriétés à l’isoforme normale de la même protéine. Cette propriété se manifeste par une transmission pathogénique et une destruction sélective des cellules nerveuses chez les mammifères.
Initialement un prion pathogène est formé in vitro (aliments passés à UHT pour constituer des farines avec des protéines animales).
Dans un article récent publié dans la revue Science l’équipe de Stanley Prusiner démontre pour la première fois sa théorie des prions. Démontrant ainsi qu’une protéine peut être infectieuse par elle même sans intervention ni d’ADN, ni d’ARN. La théorie du prion développée par Stanley Prusiner a été récompensée par le prix Nobel de médecine en 1997. Sa théorie décrit qu’une protéine (nommée Prpc) peut changer de conformation et devenir agressivement contaminante Prpsc . Ce changement de conformation se propage alors aux molécules Prpc, les rendant ainsi pathogènes à leur tour. Cette protéine est supposée être l’agent pathogène responsable de la maladie de la vache folle (l’encéphalopathie spongiforme bovine; l’ESB).

7/ Les animaux et les humains n’ont plus une intégrité d’espèce. Les vaccins sont les plus grands responsables.

Ainsi une maladie dite contagieuse ne touche plus que les membres de la même espèce mais contamine autant les oiseaux, les cochons et même les hommes ! Si les virus les microbes et les parasites ont perdu le nord, s’ils ne sont plus sélectionnés pour répondre à une problématique d’une seule espèce, peut-être avons-nous, hommes doués de la raison, perdu la raison aussi ?
Ce sont les vaccinations systématiques des humains et de tous les animaux domestiques par une identique manière de fabrication qui ont désintégrés les individus de chaque espèce. Ces infiltrations perverses de substances protéiniques d’une espèce à une autre (La signature immunitaire est protéinique) éveillent chez l’homme les données génétiques de ces animaux qui sont cachées et endormies dans notre génome.
Est-il donc encore important de connaître le matricule « Hx Ny » exacte pour comprendre ce qui ce passe ici bas, depuis que nous avons abandonné et divorcé de notre mère nature, depuis que nous la parasitons sans aucun scrupule et que nous traitons mal nos animaux. Comment sommes nous arrivés à perdre notre entité d’Homo Sapiens, et avons-nous réussi à partager la grippe avec nos animaux terriens tel le cochon et nos frères aériens les oiseaux ?
Je dois donc vous proposer de me suivre dans un certain cheminement, celui qui nous permet de comprendre le rôle des virus.
Commençons avec la vaccine : La vaccine est une maladie de la vache, la variante « vache » de la variole (pox) humaine ou des canaris. L’homme vivant dans des villes malsaines contracte ce type de maladie comme la vache quand elle est contenue avec un trop grand nombre de congénères dans des endroits (étables insalubres) trop étroits. La constatation par Edward Jenner que cette maladie animale protégeait les fermiers qui travaillaient tous les jours avec des vaches contaminées, mais candidats porteurs de la variole humaine, maladie grave, (immunité croisée) a conduit à l’utiliser dans la prévention de la variole l’ancien procédé de variolisation, qui consistait à contaminer le sujet humain supérieur, avec une variole de la vache, spécifique à son espèce, mais ruminante, végétarienne, inférieure à l’espèce humaine. Sans cette scarification pour introduire le jus à virus de vache, l’homme ne contracte pas la vaccine par contact direct avec les vaches. Le virus vache est de la même famille que le virus variole humain mais spécifique à chaque espèce. L’homme variolisé par le germe « vache » ne contractait donc plus la variole « humaine » même s’il vivait en commun ménage avec des citadins contaminés.
Il ne s’agit donc ici, pas d’une « zoonose » tel la Tuberculose, la Toxoplasmose ou la Rage, où l’agent contagieux unique contamine certains animaux de différentes espèces et aussi l’homme.
Le scientifique abandonne la méthode de Jenner hiérarchiquement juste pour l’utilisation massive de la nouvelle vaccination, au prix, cependant de nombreux accidents. Le nouveau système capte le virus retenu et diminue sa virulence en le faisant subir des passages dans des cultures de cellules d’animaux inférieurs. Le virus qui a baigné dans cette soupe se contamine de protéines qui ont la signature de cet animal. Une fois intégré dans le vaccin cette protéine viendra éveiller ses données génétiques à l’animal supérieur vacciné. Cet humain, animal supérieur contient enfoui et endormi dans la mémoire de son génome encore celui de ce animal inférieur. Ce qui explique aussi les allergies envers des aliments d’origine animal qui se déclarent après une vaccination. Dans le cas de la Grippe, le Virus Influenza est originalement Humain. Pour 2008 – 2009 le vaccin utilisé est une solution préparée par culture sur des œufs de poule embryonnés.

8/ L’isolation d’animaux dans les exploitations.

La concentration d’un trop grand nombre dans un espace trop étroit, hors sol et sans plein air. La séparation de l’agriculture jadis associée étroitement à l’élevage en ferme où la diversité de culture et d’animaux s’enrichissait mutuellement, provoquent aujourd’hui toujours des maladies contagieuses que les industriels cherchent à éradiquer par des traitements chimiques sur les malades et même en prévention sur des individus encore en bon état. Par exemple les coccidiostatiques, les vermicides, les insecticides et les vaccins sont administrés par voie orale, pour-on ou injectable à des êtres bien portants! Ces produits ont des effets secondaires, polluent l’environnement direct de ces animaux et laissent des résidus toxiques pour les consommateurs. Dans ces centres de production animale l’habitat est conditionné et donc insalubre pour les gens qui y travaillent aussi. La maltraitance des animaux continue et affecte toute la population du globe ; même ceux qui n’en mange pas.

9/ L’accumulation des lisiers d’exploitations d’animaux et le lisier de l’homme :

Le corps mammifère sépare les produits solubles dans l’eau des autres métabolites dont l’organisme se débarrasse par les excréments solides.
Mais l’homme remélange le tout dans ses toilettes modernes. La contamination de la nappe phréatique partout sur notre planète est donc certifiée. Pour rappel les mammifères n’urinent pas au même moment ni au même endroit où ils déposent leurs excréments solides. Les prédateurs couvrent ou enterrent leurs selles. Ainsi tous les déchets toxiques et contaminés baignent ensemble dans un vrai bouillon de culture !
Les oiseaux migrateurs font comme les voyageurs par voie aérienne, ils se contaminent quand ils ont les pattes ou pieds au sol et vont déposer leurs souches d’agents pathogènes dans d’autres continents ! Une pandémie est donc quasi inévitable.

10/ De l’Influence à L’Influenza.

Ne nous laissons pas… influenzer ! Ou plutôt restons le plus intensément possible sous l’Influence de l’Admiration du fonctionnement de notre Univers. Sous cette influence nous risquons plus de participer à un avenir harmonieux sans techniques d’isolation, plutôt qu’à une survie grâce à des mesures infantiles, un masque et un condom et des moyens de laboratoire, les vaccins…
Influence
Nature : s. f.
Prononciation : in-flu-an-s’
Etymologie : Provenç. et esp. influencia ; ital. influenza ; du lat. influentia, de influere, influer.
Sorte d’écoulement matériel que l’ancienne physique supposait provenir du ciel et des astres et agir sur les hommes et sur les choses.
Fig. Action qui s’exerce entre des personnes ou des substances.
Fig. Autorité, crédit, ascendant, en parlant des personnes.
Étymologie, de “gripper” au sens ancien de “saisir brusquement” (allusion au début brutal de la maladie).
Foi de Tchernobyl, on est prêt ! Bien sûr, il y a gros à parier que l’Europe sera épargnée et qu’à l’instar de ce nuage qui avait respecté nos frontières le virus ira plutôt empoisonner nos voisins. Mais pour le cas où son GPS serait déréglé, tout a été prévu, qu’on se le dise, pour endiguer l’épidémie ! L’Office de la Santé – il est vrai que, pour sa part, il a le masque depuis son installation– l’a redit avec force : en matière de prévention, nous ne sommes pas loin d’être les meilleurs, vive l’Europe.
L’étymologie est moins réjouissante. Par définition, la grippe (d’un mot francique qui a produit l’allemand greifen, « saisir ») vous attrape par le nez et la bouffe, et sans crier gare. Tout ce qui est sous contrôle légal est dangereux car pollué et contaminé mais stérilisé.
Son caractère subit, totalement imprévisible, se retrouve d’ailleurs dans ses deux acceptions figurées : « caprice, fantaisie soudaine » ou, à l’inverse, « brusque antipathie », cette dernière subsistant encore aujourd’hui à travers l’expression « prendre en grippe ».
Méfiance, donc. Il se pourrait bien que, cette fois encore, on nous le fît à l’influence. Mais ce serait là soigner le mal par le mal puisque la dite influence est précisément le terme dont usait l’ancienne médecine pour désigner… la grippe ! Le latin médiéval influentia (« ce qui coule », à l’image de notre flux) n’est-il pas à l’origine de l’influenza, mot employé pour la première fois en France au dix-huitième siècle, après une importante épidémie en Italie ?
Il ne nous reste plus qu’à nous… agripper solidement aux branches, qui ne sont pas mortes déjà !

Influence (nF.)
1. effet produit par quelque chose ou quelqu’un sur son environnement (ex. l’influence de la lune sur les marées).
2. ascendant, pouvoir de quelqu’un sur un autre.
Influencer (v.)
Exercer une influence sur. Influence (nf.)
↘ Influent ↗ influencer, inspirer
Influencer (v.)
agir, agir sur, aiguillonner, animer, conditionner, conduire, contagionner, contaminer, déteindre, endoctriner, entraîner, gouverner, impressionner, incliner, infléchir, influer, manier, marquer, mener, peser, prédisposer, prévenir, réagir, suggestionner, tourner, inspirer (V+qqn, figuré).

Pour cette « grippe », ne sommes nous pas de toute façon, qu’on le veuille ou non, sous l’influence du Créateur ? L’homme est l’enfant de Dieu, Le Créateur initiateur d’un univers où la vie a vu le jour, et où un autre jour, l’Homme est apparu, comme un animal debout et doué de La Raison (moyen ou accès à la spiritualité, au raisonnable).
Ce lien avec notre Créateur Divin est une alliance éternelle qui même brisée par nous, ne permet pas à cette créature humaine de remplacer l’initiateur indescriptible.
Ainsi, chaque maladie est l’expression d’une aberration, d’un faux jugement, comme une information gratuite qui indique de changer de course. Le corps humain fut ainsi doter d’une faculté organique, un nez qui sert de trop plein.
Le Rhume ou évacuation de mucus chargé des effets de l’aberration mental permet à l’homme d’une façon végétative et spontanée de se libérer de ses erreurs et de celles de la collectivité. Si ce rhume ne vient pas à temps la nature, nous propose une aide d’un agent vivant, d’un génie viral (ici le virus Influenza), microbien ou parasite, visible à l’œil nu ou grâce aux microscopes qui vient déblayer le terrain malade. Pour le plus haut niveau le trop plein du cerveau est bel et bien le nez. Merci donc au rhume. Puis si le rhume fait défaut à un moment donné le corps abandonne, et se remet au virus Influenza qui vient provoquer le système immunitaire pour l’obliger à construire végétativement des anticorps « spécifiques ». Pour cela tout le système organique, toute la physiologie est réveillée par la fièvre et ‘organisme de l’espèce humaine parvient ainsi à former les anticorps spécifiques et efficaces. Quand le corps n’est plus capable a cette performance innée le nez donne sa langue au chat et son abandon se répercutera par le rhume honteux, sexuellement transmissible : les écoulements sexuels qui se transmettent alors aux générations futures. Si une génération n’accomplit pas sa mission humaine, ce sera la génération suivante qui en prendra la charge (Merci Parents irresponsables : maladies sexuellement transmissibles.) Au départ, ces maladies sexuelles sont expressives et observables: sycoses et syphilis. Grâce aux vaccins et aux chimio thérapeutiques elles sont camouflées et remplacées sur le terrain quotidien par des syndromes sous le pouvoir de subvirus, reconnaissables que grâce à des techniques sophistiquées qui précisent alors le SIDA ou le Type de Virus capable d’action pandémique ! Pour retrouver une pais sans menace de pandémie mortelle, il nous faudra se reconnecter avec les lois de l’univers et de notre éthique humaine. Il faudra se réconcilier avec la terre et se rattacher au but élevé et spirituel de l’Homo sapiens. Tentons tous de devenir « raisonnable » plutôt que d’utiliser un raisonnement pour justifier ses aberrations. Soyons ainsi solidaire !

11/ Conclusion :

J’espère de tout cœur que ce petit dossier pourra éveiller la conscience de beaucoup d’homme à grand cœur pour que les animaux qui nous entourent et qui s’offrent gracieusement à nous puissent un jour nous dire :
« Merci grands hommes, depuis que vous êtes corrects envers notre planète (air, sol, eau) et notre végétation nous partageons un bonheur ici bas ».
Une solution par des armes pharmaceutiques est similaire à l’utilisation de la scission nucléaire pour abuser d’énergie, car elles détruisent dangereusement notre berceau.
Nous devons solidairement et humblement porter un regard d’admiration à l’univers, La Création.
Celui qui admire quelque chose ou quelqu’un ne peut plus le violer ni le détruire. Nous n’avons pas le droit de rester passif et innocent mais le devoir de commencer à se responsabiliser et à chercher des gens sages qui comprennent La Nature des choses et qui peuvent guider et enseigner. Ces gens ne sont jamais des experts de laboratoires, mais des connaisseurs des interactions entre tous les règnes de la nature. Il y en a partout, mais ils sont plutôt sages, doux et silencieux.

Merci de me transmettre vos commentaires.

Dr Eric Vanden Eynde
mail@vetbe.com

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Homeobel est édité par la Société Royale Belge d'Homéopathie.

A propos de Homeobel:
Créé en 2000 par la Société Royale Belge d’Homéopathie pour promouvoir la pratique de l’homéopathie uniciste selon les principes de son fondateur : le Dr Samuel Hahnemann (1755-1843).


Société Royale d'Homéopathie:
Fondée en 1872, elle est à l’origine de l’Ecole Belge d’Homéopathie dont le but est de former les homéopathes. Responsable aussi de la publication trimestrielle de la Revue Belge d’Homéopathie.

Défilement vers le haut